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Montréal, Québec, Canada
Depuis le 11 septembre 2005, je vis et je pense "un kilomètre à la fois". Je me suis demandé quel rêve il me faudrait réaliser avant qu'il ne soit trop tard. Dans mon enfance, ça me fascinait de voir des "mastodontes" circuler sur les routes. Je ne sais pas si je me disais qu'un jour je les conduirais, mais en 2005, oui. J'ai donc entrepris les démarches auprès du CFTR pour obtenir le certificat qui permet d'opérer ce genre de véhicule; tout en me fixant comme objectif de parcourir les routes de l'Amérique sur une distance de 1,000,000 de miles. Après la formation, j'ai décidé de m'y consacré pleinement en vivant dans mon "truck". Je vous dresse la liste des emplois qui m'ont mené jusque là: camelot, coupeur de viande, peintre en bâtiment, entrepreneur en peinture, garçon de table, échantillonneur, analyste en laboratoire, technicien-laborantin, directeur d'un centre de thérapie, concierge, et j'en oublie peut-être... J'ai aussi eu comme activité la représentation syndicale, la politique et la construction/rénovation de plusieurs maisons. Ah oui, je suis le père de 2 filles extraordinaires et le grand-père de 2 autres non moins extra...

1, 2, 3, partez!

On m'a dit qu'il faut être de son temps...
Après quelques hésitations, j'y suis!
Je veux partager avec vous mes idées, mes rêves, mes coups de coeur, mes coups de gueule et mes coups de pied au cul.
Vous me lirez et vous me donnerez votre opinion.
Bonne lecture...  Au plaisir...

samedi 8 mars 2008

La conversation nationale...


Réveillez moi quelqu'un...

Madame Marois invite tous les québécois à une vaste conversation nationale.  De deux choses l'une; ou bien je dormais depuis 1973, ou bien je devrai m'endormir dès aujourd'hui.  J'ai beau faire tous les efforts, je ne comprend pas.  Je suis de ceux qui rêvent depuis le début de l'aventure du Parti Québécois qu'un jour le Québec s'émancipera et atteindra la maturité nécessaire pour devenir un pays normal pour des gens normaux.  Élection après élection, les fédéralistes me répètent qu'un vote pour le PQ est un vote pour l'indépendance.  Les seuls qui n'ont pas compris cette affirmation sont les dirigeants du Parti Québécois.  Pour plaire à notre ancien chef, Monsieur René Lévesque, il a été prévu que nous devrions atteindre notre objectif après un référendum gagnant.  Erreur fondamentale!  Le seul et unique référendum qui pourrait faire avancer notre option, serait celui qui serait tenu dans le reste du Canada. 

 "Voulez-vous oui ou non vous débarrasser une fois pour toutes du Québec ???"

Dites-moi Madame Marois, demande-t-on à un prisonnier si oui ou non il veut être libéré?  Lorsque je vote pour un gouvernement, je dois m'attendre à ce que ce gouvernement prenne les décisions nécessaires au mieux-être de sa population.  Il n'y a pas de conversation qui tienne!  Je ne veux pas savoir si les Marocains et les Chinois ont immigrés au Québec ou au Canada;  je veux décider si je suis assez québécois pour vivre dans mon propre pays!

Dirigeants du Parti Québécois, faites attention que je ne commence à trouver que le nouveau parti indépendantiste qui vient tout juste d'être créé soit assez intéressant pour que je m'y retrouve...

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