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Montréal, Québec, Canada
Depuis le 11 septembre 2005, je vis et je pense "un kilomètre à la fois". Je me suis demandé quel rêve il me faudrait réaliser avant qu'il ne soit trop tard. Dans mon enfance, ça me fascinait de voir des "mastodontes" circuler sur les routes. Je ne sais pas si je me disais qu'un jour je les conduirais, mais en 2005, oui. J'ai donc entrepris les démarches auprès du CFTR pour obtenir le certificat qui permet d'opérer ce genre de véhicule; tout en me fixant comme objectif de parcourir les routes de l'Amérique sur une distance de 1,000,000 de miles. Après la formation, j'ai décidé de m'y consacré pleinement en vivant dans mon "truck". Je vous dresse la liste des emplois qui m'ont mené jusque là: camelot, coupeur de viande, peintre en bâtiment, entrepreneur en peinture, garçon de table, échantillonneur, analyste en laboratoire, technicien-laborantin, directeur d'un centre de thérapie, concierge, et j'en oublie peut-être... J'ai aussi eu comme activité la représentation syndicale, la politique et la construction/rénovation de plusieurs maisons. Ah oui, je suis le père de 2 filles extraordinaires et le grand-père de 2 autres non moins extra...

1, 2, 3, partez!

On m'a dit qu'il faut être de son temps...
Après quelques hésitations, j'y suis!
Je veux partager avec vous mes idées, mes rêves, mes coups de coeur, mes coups de gueule et mes coups de pied au cul.
Vous me lirez et vous me donnerez votre opinion.
Bonne lecture...  Au plaisir...

mercredi 28 novembre 2007

Le tabarn...

Quelques jours de congé et me revoilà en pleine forme...
La semaine dernière je suis tombé sur une émission de télé américaine où une femme d'une quarantaine d'années avec trois enfants racontait son aventure des derniers mois.  Elle se présenta dans une institution financière parce qu'elle ne parvenait plus à payer son loyer avec son très petit salaire de WAL*MART.  On lui expliqua qu'elle devait voir les choses différemment.  Elle ressortit de ce bureau avec une hypothèque de $220,000.00 pour l'achat d'une roulotte.  Elle y déménagea avec ses enfants.  Après deux paiements très difficiles, elle retourna à la banque où on la convainquit de faire l'acquisition d'un duplex de $340,000.00.  Le loyer récolté lui permettrait de faire face à ses obligations.  Elle ne refit aucun paiement, ni sur sa maison, ni sur le duplex.  Elle déclara faillite.  Vous vous demandez comment une telle chose fût possible?  Très simple!  La banque connaissait la résultante et savait surtout que des cons comme Henri-Paul Rousseau se battrait pour acheter ces prêts à la bourse.  C'est ce même conard que j'ai entendu cet après-midi demander aux députés du Québec de se la fermer et de se rendre compte qu'il ne fait pas que des "mauvais coups".  500 millions, pris dans le "bas de laine" des Québécois, ce n'est que du "crottin" pour ce douteux personnage. 
Rousseau!, je veux bien croire que Jean Charest vous a ordonné de ne plus faire de prêts aux Québécois, mais vous auriez pu vous contenter de prêter aux "mafias" chinoises qui font travailler des enfants pour fabriquer des jouets qui empoisonnent nos enfants.  "Ben non!", dans les derniers mois, vous n'avez pas levé le petit doigt pour empêcher l'Alcan d'être vendu à des intérêts étrangers.  Les "papiers adossés", c'est exactement comme si tous les "prêteurs usuraires" et les "prêteurs sur gages" s'unissaient pour vendre leurs comptes à recevoir et que j'utilisais mon fond de pension pour les racheter à la bourse; vous me diriez que je suis le dernier des imbéciles et vous auriez raison!
Notre seule consolation, c'est de savoir que vous n'êtes pas le seul à nous prendre pour des imbéciles, puisque toutes les banques canadiennes ont aussi volé notre argent en vous imitant. Et ça se dit financier...
P/S  Malgré ma très grande politesse, je n'ai pas été capable d'utiliser le mot Monsieur dans ce texte.  Remplacez le par "le tabarn..."...  

vendredi 23 novembre 2007

Le quêteux...

Deux jours de route dans le "festival mondial" de la "sortie de route"... C'est à ça que ressemble l'hiver...
Il y a 2 ou 3 ans, je déambulais nonchalamment dans les rues du Vieux Montréal.  J'adore me promener sans but précis en appréciant l'architecture.  Malheureusement, je constatais encore une fois qu'un des berceaux  de l'Amérique française, n'avait de français que le nom de ses rues.  J'ai dû entrer dans 3 commerces différents afin de trouver un commis qui comprenne ma langue, et ça avec beaucoup de difficultés. Mais passons puisque les politiciens nous affirment que le "fait français" s'améliore au Québec...
Sur une des rues, je passai devant un "indigent" qui tendait son vieux verre de carton pour récolter quelques sous des passants.  À un moment donné, arriva un groupe de 5 "yoppies" discutant entre eux en anglais de l'acquisition  de l'édifice de l'autre côté de la rue.  Ces "hommes d'affaires" parlaient très fort et tout le monde pouvait très bien comprendre l'objet et les propos de leur discussion.  Il est vrai que les rues étroites provoquent de l'écho.  Ne se préoccupant pas de notre "pauvre homme" assis à leurs pieds, ils nuisaient sans équivoque aux bienfaiteurs qui devaient entrer dans le groupe pour déposer là un dollar, là un 25 sous dans le verre tendu par le "pôvre".  La situation malheureuse perdura une bonne vingtaines de minutes, jusqu'au moment où le "quêteux" se tannant de se faire marcher sur les jambes par un groupe d'hommes qui l'ignorait totalement, leurs demanda calmement dans leur langue s'ils pouvaient le laisser gagner sa vie honnêtement.  Ils furent tous surpris de son existence et de  sa requête mais acceptèrent de s'éloigner en rechignant.
Ce midi là, sur cette rue là, je ne peux absolument pas vous dire qui "du mendiant" ou qui "des riches" étaient le plus à plaindre...

mardi 20 novembre 2007

Les Grands Oubliés...

Je ne vous dirai certainement pas qu'il faisait +19c à mon réveil ce matin pendant que le Québec subissait sa première "bordée"... Le Tennessee à de ses avantages...
Radio-Canada met à l'antenne cette automne une série d'émission traitant de personnages québécois qui ont façonné ce que nous sommes.  Merveilleux!  
La Vie nous offre de temps en temps des cadeaux inattendus si nous pouvons les reconnaître.  J'ai eu la chance et le plaisir de côtoyer un certain temps un de ces êtres d'exception.  Mr André Caron. 
André qui avait comme profession d'enseigner n'a cessé tout au long de sa vie de s'impliquer pour sa communauté.  Un de ses engagements était ses activités politiques.  Je l'ai connu pendant qu'il occupait le poste de président du Parti Québécois du conté Jonquière.  Il a par la suite été élu comme député du Bloc Québécois. Malheureusement, André nous a quitté trop vite et surtout trop vite pour fêter notre indépendance.  Je retiendrai toute ma vie en mémoire son très grand sens du dévouement et son très grand respect pour l'opinion des autres.  André, où que tu sois maintenant, si tu as le pouvoir de tirer quelques ficelles, puisse-tu nous accorder la maturité collective nécessaire pour que nous fassions les derniers travaux de notre indépendance.
"JE ME SOUVIENS", je me souviens d'André Caron...

lundi 19 novembre 2007

André Pratte...

-7c à Montréal et +17c à Memphis, de quoi je me plains?
Lu dans le journal LaPresse d'aujourd'hui sous la plume de André Pratte:  LES CAMIONNEURS SE FICHENT DES VOITURES - Beaucoup de chauffeurs de camion ne tiennent aucun compte de l'effet de leur conduite sur les autres usagers de la route.  Ils roulent trop vite, surtout par mauvais temps, et usent sans cesse de la grosseur de leurs mastodontes pour intimider les automobilistes.  Le respect, vous connaissez?
Monsieur Pratte, vous êtes le dernier des imbéciles!  Si vous aviez un tant soit peu de jugeote, vous commenceriez par vous renseignez sur la conduite et sur les conducteurs de 'poids-lourds".  Vous y apprendriez que ces hommes et ces femmes qui gagnent leur vie sur les routes, passent le plus clair de leur temps à manoeuvrer pour sauver la vie des propriétaires de voitures. Vous ne pouvez pas vous imaginer le nombre de fois dans une journée où nous devons mettre notre vie en jeu pour sauver la vôtre.  Quant au fait que vous leurs reprochez de ne pas réduire leur vitesse par mauvais temps, sachez que leur poids le leur permet et que je suis absolument certain que vous êtes très très content de recevoir votre journal à votre porte à la même heure tous les matins,  beau temps, mauvais temps.  
Je vous trouve plus crédible dans vos "dégueulages anti-québécois"...

dimanche 18 novembre 2007

Ha Ha Ha...

Moitié soleil, moitié nuages, mi-chaud, mi-froid; bon d'accord c'est l'automne...
Une ministre dépose un projet de loi pour réduire la vitesse sur les routes et les accidents selon elle, et se fait prendre dans la même semaine pour un accès de vitesse!  Ha Ha Ha Ha Ha Ha et encore Ha Ha  Ha Ha Ha Ha...  Dans ce projet de loi, il est prévu de limiter tous les "poids-lourds" à la même vitesse.  À mon humble opinion, on se dirige vers un "enfer" sur les routes québécoises.  C'est pas compliqué, 2 trucks qui se suivent à la même vitesse ne vont pas à la même vitesse.  Tout dépend de leurs poids.  Le plus pesant des deux réduira sa vitesse en montant les côtes et augmentera sa vitesse en descendants les autres. La vitesse maximale de mon camion est actuellement limitée et c'est parfait, mais je suis conscient que la pire situation pour un chauffeur est de "dealer" avec un de ses confrères qui a la même "limitation".  Quant à la ministre, "madame, ce n'est pas dans votre limousine que vous êtes endormie", c'est pire quand vous en sortez. De plus, nous venons d'apprendre que votre chauffeur a été muté à d'autres tâches;  et bien, s'il perd son "job" et que vous nous dites sans rire qu'il a profité de votre sommeil pour dépasser la vitesse permise pour la première fois:  Madame, je souhaite un jour vous rencontrer pour vous dire entre quatre yeux que vous êtes une menteuse.

samedi 17 novembre 2007

Qui es-tu Henri ?...

960 kilomètres sans soleil.  Le genre de journée où le ciel refuse de s'ouvrir...
17 octobre 1995
Qui es-tu Henri ?...
Je suis orgueil, égocentrisme.  Je me complais à me faire violence.  Je suis un enfant blessé.  Je suis aussi douceur et charité.  Tout m'atteint, je suis vulnérable.  Je me cherche!  Je me cherche parce que je suis d'abord et avant tout un être en devenir.  Après la réussite insatisfaisante, je cherche à me réaliser.  Je ne sais pas QUAND, OÛ, COMMENT et avec QUI, mais j'essaie.  J'ai tant d'amour, j'ai tant de haine; puisse DIEU me guider, me protéger...

J'ai relu ça ce matin et j'ai trouvé que c'était encore aussi vrai aujourd'hui qu'à l'époque...

vendredi 16 novembre 2007

Les soins de santé...

Une journée entière dans le trafic de Chicago et j'ai survécu...
À l'âge de 5 ans, je me suis cassés tous les os du bras droit.  Le médecin à l'urgence du petit hospital d'Arvida m'a opéré pour me refaire le bras.  Puis il m'a stabilisé tout le haut du corps dans un plâtre pour une période de 4 mois.  C'était en 1960 les débuts de l'assurance hospitalisation et de l'assurance santé.  Jamais mon père n'aurait pu assumer les frais de cette accident n'eut été de cette nouveauté québécoise.  Pourquoi en 2007, ça va si mal dans le domaine de la santé?  Je vous propose mon hypothèse.  Par malchance, vous vous cassez le petit orteil du pied gauche.  Vous allez voir un médecin qui vous envoie à un autre médecin spécialisé du "côté gauche" du corps humain.  Après une batterie de test et de radiographie, il vous transférera à un médecin spécialisé pour le "bas gauche" du corps humain.  À la lecture du scanner, il consultera ses savants confrères qui comme lui en concluront que vous devez de toute urgence consulter un podologiste. Malheureusement pour vous, la liste d'attente pour les podologistes est de 8 mois minimum.  "To bad" pour votre orteil et votre santé mentale!  Vous vous dites sûrement que j'exagère; bien non!  J'ai eu un jour à consulter pour une mononucléose, avant de ressortir de la clinique semi-privé, ma carte d'assurance maladie avait servi 7 fois dans la même matinée.
Morale de cette histoire:  ouvrez les lumières la nuit...

jeudi 15 novembre 2007

Projet de loi sur la sécurité routière...

Deux blogs le même jour; "attachez moi quelqu'un".  Je dois être en verve...
J'entendais ce midi, la ministre Boulay nous expliquer le bien fondé de sa nouvelle loi.  Hypocrisie ou mensonge, je ne sais pas ce qui convient le mieux.  Ils n'arrêtent plus assez de conducteurs en état d'ébriété, qu'à celà ne tienne, on abaisse la limite permise.  Avec .05 au lieu des .08, les policiers pourront atteindre leurs "quotas". Madame la ministre, si l'alcool au volant c'est dangereux, interdisez l'alcool au volant; point à la ligne.  Bien non, ce serait trop facile et le gouvernement perdrait trop de revenu.  Ça me fait tellement penser au fait que depuis des années la cigarette tue les fumeurs, mais svp continuez de fumer que l'on puisse se payer un autre stade olympique.
Ça m'a fait du bien de le dire...

Jean-Marc et Alain...

Deux jours de route dans une température morne...
Vers l'âge de 6 ou 7 ans, mon père qui n'avait vraiment pas de temps de loisir, m'amena un matin pour une visite qu'il faisait à son ami Adrien Plourde; président du SNEAA.  Pour un enfant de cet âge, un syndicat, ça ne veut absolument rien dire.  Je ne sais pas si c'est le fait que papa m'a pris la main pour nous permettre de traverser le boulevard Mellon ou la bouteille de Coke qu'il m'avait achetée, mais je sais que jamais je n'oublierai cette matinée.  De voir et d'entendre ces deux hommes se parler du temps ou les syndicats étaient illégaux et qu'ils utilisaient leurs rares moments de disponibilité pour recueillir des 5 sous qui tenait lieu de cotisation, j'étais très très impressionné.  L'espace d'un moment, je me trouvais en présence de GÉANTS.  Bon, j'ai été moi-même représentant syndical durant 25 ans par la suite. Beaucoup d'ingratitude et peu de reconnaissance.  Je ne regretterai jamais un seul instant de cette époque, surtout la période où j'ai participé à la syndicalisation des employés de l'usine ABI de Bécancour.  Assez de nostalgie, je veux ce matin rendre hommage à 2 de mes amis que j'ai suivi tout au long de leurs carrières. Jean-Marc Crevier, directeur de la FTQ pour le Saguenay et le Lac-Saint-Jean et Alain Proulx, président des TCA pour la même région. Pour les avoir connus dès leur départ et de les avoir suivi dans leurs progressions, ces deux amis, m'impressionne au plus haut point.  Quel plaisir de les entendre sur les réseaux nationaux continuer à défendre avec acharnement les droits de leurs commettants.  MESSIEURS Alain et Jean-Marc, continuez, le Québec à besoin plus que jamais de GÉANTS comme vous. D'ailleurs, je ne comprendrais pas que vous ne soyez pas considérés très sérieusement pour remplacer le président actuel de la FTQ qui a annoncé sa retraite. 
 À vos cotés, je demeurerai le petit garçon qui...

lundi 12 novembre 2007

Mario...

Beau soleil, trop chaud pour la saison mais je ne m'en plaindrai pas...
On nous annonce aujourd'hui la parution d'une bibliographie sur Mario Dumont.  Je voudrais vous proposer la mienne.  À une époque de ma vie, comme beaucoup de québécois, j'ai rêvé que je pourrais être le père de Mario.  Malgré mon tempérament de motard, qui ne rêve pas que leur fils soit un peu "neurd". Intelligent, beau garçon, fonceur, travaillant, etc..., etc..., bref, le garçon parfait.  Il a même tenu tête aux bonzes du PLQ et démissionné avec fracas pour former son propre parti. Il a continué avec acharnement de promouvoir ses idées et ses convictions.  Bon, pour ma part, j'étais rarement d'accord, mais je respectais son travail.  Plus maintenant!  Les derniers mois nous ont révélé encore une fois que même les meilleurs se corrompent à la porte du pouvoir.  Comme un pompier qui devient pyromane, Mario, prend un malin plaisir à mettre le feu au gré des suggestions de ses conseillés.  Si un jour il a demandé au chef du PQ de débarquer de sa "chaise haute", je crois personnellement que Mario est en train de remplir sa "couche" et croyez moi, ça va puer lorsqu'il la changera.  Mario, prend une feuille blanche et un crayon et note s'y tous les noms de personnes et celles de compagnies qui gravitent autour de toi et à qui tu devras renvoyer l'ascenseur.  Plus ça change, plus c'est pareil; la proximité du POUVOIR attire les PUANTS.  Quelle tristesse...  

dimanche 11 novembre 2007

Les accommodements rais...

Il fait beau, la route est belle, merveilleux...
Je ne sais pas pour vous, mais moi, j'en ai plein mon casque d'entendre les "pseudo-intellectuels" de tout acabit déblatérer sur ce qui se dit à la commission "Bouchard/Taylor".  Je soupçonne ces commentateurs et éditorialistes d'être de la race de ceux qui systématiquement change de langue au cours d'une réunion pour ne pas déplaire à la personne de langue anglaise qui vient de se joindre à eux.  "Merde", un peu de rigueur et de recul s.v.p.
Encore cette semaine, j'entendais ces personnes venir nous dire que la situation du français s'était améliorée au Québec. "Rien de plus faux"; l'île de Montréal est maintenant anglophone avec quelques petites poches de résistance francophone.  Ne pas s'en rendre compte ou le nier est pour moi un crime d'omission.  Tous les jours où j'y suis, je vis des situations qui me font comprendre que ce doit être en anglais que ça doit se passer.   Ok, je ne vis pas sur le "Plateau", ni ne fréquente les commerces et restaurants assez dispendieux pour que la direction accepte de vous laisser vivre votre folklore. 
Comment se surprendre alors que les régions québécoises aient peur.  Je peux sans me tromper, vous affirmer qu'il y a 10 fois plus de personnes de la Beauce ou du Saguenay qui fréquentent la métropole que l'inverse.  Les gens des régions voient ce qui se passe à Montréal et ne comprennent pas que les montréalais acceptent ça béatement.
Devrais-je en comprendre que je dois fermer ma gueule et accepter ce complot qui sert à noyer les "poissons".  C'est sûr que le jour où nous parlerons tous uniquement l'anglais et que nos femmes porteront toutes le "voile" ou la "burka", le Canada n'aura plus à se méfier de l'indépendance du Québec.  Ils auront enfin terminée la bataille des Plaines d'Abraham.   

samedi 10 novembre 2007

Réservé aux 18 ans +...

Dring, Dring, Dring.
"Hello! Who's speaking?"  "Salut Stevie; c'est John."  "Hi buddy!  How you doing?"  "Fuck!  Ça va pas pantoute...  Je suis en train de perdre mes élections."  "What  can I do for you?"   "Money!  Money!  Je dois acheter mes votes."  "Bon écoute frenchy, je dois transférer 3/4 de milliard à l'Ontario et à l'Alberta pour des emplois et de l'infrastructure; je vais annoncer en même temps que je te donne la même chose pour le bien-être, sorry, pour le déséquilibre fiscal."  "Vas-tu mettre cet argent en santé et en éducation?"  "You killing!  Veux-tu que mon ministre de la santé me remplace? Ou quoi!? Pire! Tu veux que j'éduque les frogs?  Quand vous m'avez payé et mandaté pour que je quitte Ottawa, c'était pour détruire les résultats de la Révolution Tranquille, pas pour que ça marche!  Non, sérieux, je vais couper les impôts.  Y'a pas mal trop de riches qui sont tentés par l'ADQ."  "You break my legs!  Prendre l'argent des pauvres pour la redistribuer aux riches; là John, tu fais vraiment dans le très fort! Je ne crois pas que j'aurais pu y penser moi-même!  Le reste du surplus fédéral, je vais le mettre sur la dette, les banques manquent d'argent pour créer des emplois en Chine et pour acheter des fausses hypothèques aux States."  "De toutes façons, tu me donne une idée, je vais baisser les impôts des banques et des pétrolières dans les prochaines semaines."  "Good!"  "Ok, je dois te laisser my friend, nous devons terminer un conseil des ministres qui se penche sur l'âge minimum que nous statuerons pour la réinstauration de la peine de mort.  Ya encore des tapettes qui voudraient  14, moi je préfère 12."  "Au pire Stevie, on les enverra se faire pendre aux States ou torturer aux Muslam Contry."  "See you..."  "Dieu t'bénisse..."
P/S  Cette conversation est vraie, seul les noms ont été changés pour protéger les réputations.