La semaine dernière je suis tombé sur une émission de télé américaine où une femme d'une quarantaine d'années avec trois enfants racontait son aventure des derniers mois. Elle se présenta dans une institution financière parce qu'elle ne parvenait plus à payer son loyer avec son très petit salaire de WAL*MART. On lui expliqua qu'elle devait voir les choses différemment. Elle ressortit de ce bureau avec une hypothèque de $220,000.00 pour l'achat d'une roulotte. Elle y déménagea avec ses enfants. Après deux paiements très difficiles, elle retourna à la banque où on la convainquit de faire l'acquisition d'un duplex de $340,000.00. Le loyer récolté lui permettrait de faire face à ses obligations. Elle ne refit aucun paiement, ni sur sa maison, ni sur le duplex. Elle déclara faillite. Vous vous demandez comment une telle chose fût possible? Très simple! La banque connaissait la résultante et savait surtout que des cons comme Henri-Paul Rousseau se battrait pour acheter ces prêts à la bourse. C'est ce même conard que j'ai entendu cet après-midi demander aux députés du Québec de se la fermer et de se rendre compte qu'il ne fait pas que des "mauvais coups". 500 millions, pris dans le "bas de laine" des Québécois, ce n'est que du "crottin" pour ce douteux personnage.
Rousseau!, je veux bien croire que Jean Charest vous a ordonné de ne plus faire de prêts aux Québécois, mais vous auriez pu vous contenter de prêter aux "mafias" chinoises qui font travailler des enfants pour fabriquer des jouets qui empoisonnent nos enfants. "Ben non!", dans les derniers mois, vous n'avez pas levé le petit doigt pour empêcher l'Alcan d'être vendu à des intérêts étrangers. Les "papiers adossés", c'est exactement comme si tous les "prêteurs usuraires" et les "prêteurs sur gages" s'unissaient pour vendre leurs comptes à recevoir et que j'utilisais mon fond de pension pour les racheter à la bourse; vous me diriez que je suis le dernier des imbéciles et vous auriez raison!
Notre seule consolation, c'est de savoir que vous n'êtes pas le seul à nous prendre pour des imbéciles, puisque toutes les banques canadiennes ont aussi volé notre argent en vous imitant. Et ça se dit financier...
P/S Malgré ma très grande politesse, je n'ai pas été capable d'utiliser le mot Monsieur dans ce texte. Remplacez le par "le tabarn..."...