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Montréal, Québec, Canada
Depuis le 11 septembre 2005, je vis et je pense "un kilomètre à la fois". Je me suis demandé quel rêve il me faudrait réaliser avant qu'il ne soit trop tard. Dans mon enfance, ça me fascinait de voir des "mastodontes" circuler sur les routes. Je ne sais pas si je me disais qu'un jour je les conduirais, mais en 2005, oui. J'ai donc entrepris les démarches auprès du CFTR pour obtenir le certificat qui permet d'opérer ce genre de véhicule; tout en me fixant comme objectif de parcourir les routes de l'Amérique sur une distance de 1,000,000 de miles. Après la formation, j'ai décidé de m'y consacré pleinement en vivant dans mon "truck". Je vous dresse la liste des emplois qui m'ont mené jusque là: camelot, coupeur de viande, peintre en bâtiment, entrepreneur en peinture, garçon de table, échantillonneur, analyste en laboratoire, technicien-laborantin, directeur d'un centre de thérapie, concierge, et j'en oublie peut-être... J'ai aussi eu comme activité la représentation syndicale, la politique et la construction/rénovation de plusieurs maisons. Ah oui, je suis le père de 2 filles extraordinaires et le grand-père de 2 autres non moins extra...

1, 2, 3, partez!

On m'a dit qu'il faut être de son temps...
Après quelques hésitations, j'y suis!
Je veux partager avec vous mes idées, mes rêves, mes coups de coeur, mes coups de gueule et mes coups de pied au cul.
Vous me lirez et vous me donnerez votre opinion.
Bonne lecture...  Au plaisir...

mardi 22 janvier 2008

Vous vous trompez...

Une fois n'est pas coutume...
À contre coeur, je dois me résoudre à admettre que Mme Marois fait fausse route en se dissociant de ceux qui proposent d'obliger le français dans les garderies.  Juste à côté d'où je restais à Dollar Des Ormeaux il y a un gros centre de la petite enfance.  Je voyais donc les enfants et leurs éducatrices jouer dans la cour  tous les jours.  Mais le plus important pour mon propos;  je les entendais!  Même si dans un groupe la grande majorité des enfants étaient français, tout, je dis bien tout, se passait en anglais.  Seuls les reproches étaient dans la langue française.  J'ai même déjà dit à une éducatrice qu'il me semblait très clair qu'elle voulait que les enfants comprennent que l'utilisation du français leur serait préjudiciable.  Elle m'a répondu en anglais que ce n'était pas de mes affaires.  Il n'est donc pas surprenant que ces enfants n'utilisent que la langue anglaise rendu dans les cours d'écoles primaires et secondaires.  
Qu'on ne vienne surtout pas me dire que c'est rassurant pour les enfants et leurs parents de ne rien bouger dans ce domaine.  À ne pas vouloir faire de vagues, nous avons le résultat d'une région montréalaise anglophone.  Qui peut nier cette affirmation!  

Je fais parti d'un petit peuple...

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